Nouveau cas de fraude à la CAF : Un homme condamné à rembourser plus de 30 000 euros ! Les détails choquants de cette affaire révélés.
Fraude à la CAF : Un allocataire condamné à rembourser 10 000 € suite à de fausses déclarations
Les fraudes à la CAF se multiplient. D’ailleurs, un nouvel allocataire a été pris en flagrant délit. Malgré un emploi et des indemnités pour un accident de travail, il avait déclaré n’avoir ni revenu ni activité. Cependant, son mensonge a été découvert après une enquête approfondie. L’allocataire avait perçu plus de 10 000 € indûment. Dont plus de 3 200 € d’APL et 6 600 € de RSA.
Suite à son procès, il a été condamné à rembourser cette somme à la CAF. Bien que de nombreux Français abusent des aides de la CAF. Donc, il est important de noter que parfois, l’organisme peut également commettre des erreurs. Dans un cas particulier, la CAF a versé 4 000 € à un allocataire, Yannick, qui n’y avait en réalité aucun droit.
Une grave erreur de la CAF : 4 000 € versés par mégarde
C’est une histoire incroyable mais véridique. La CAF a depuis peu commis une erreur monumentale. Elle verse par erreur la somme de 4 000 € à un Français. La découverte de cet étonnant virement a eu lieu en février dernier, lorsqu’il consultait le site web de la CAF. Face à cette situation inattendue, l’allocataire a nié toute implication dans cette dette.
Selon lui, il s’agit d’un problème informatique ayant généré des erreurs de calcul dans les allocations. Il a précisé qu’il n’avait pas été informé de cette situation. Puis, il avait dû mener ses propres recherches pour comprendre l’origine de ce trop-perçu. En ce moment, il attend toujours une réponse de la commission. Cependant, la CAF ne semble pas prête à laisser cette erreur impunie.
Fraude à la CAF : Condamné à rembourser près de 30 000 euros
Un homme de Cambrai a récemment été condamné à rembourser près de 28 892 euros à la CAF en raison de fraudes répétées. Âgé de 38 ans, cet individu avait exprès effectué une fausse déclaration pour profiter indûment de l’allocation pour adulte handicapé. Au cours de son procès, l’homme a prétendu qu’il n’avait jamais eu l’intention de résider définitivement au Maroc. Il ignore les obligations de résidence en France pour conserver les aides de la CAF.
Cependant, l’avocat de la CAF a affirmé que l’accusé était conscient de ne plus remplir les conditions pour cette prestation. Il aurait même incité sa mère à faire une fausse déclaration et à lui fournir un certificat de domiciliation pour continuer à toucher illégalement les aides de la CAF. L’homme a finalement été condamné à une peine probatoire de dix mois, étalée sur deux ans, et doit rembourser la somme perçue illégalement à la CAF.