Élisabeth Borne prend une décision forte : la shrinkflation sera bannie dès novembre. Cette annonce majeure promet de protéger votre pouvoir d’achat et met fin à une pratique encore à discuter.
Élisabeth Borne met fin à la « Shrinkflation » : Interdiction en Novembre
Élisabeth Borne s’attaque à un procédé jugé « choquant » : la « shrinkflation ». À compter de novembre, cette pratique, qui permet aux industriels de réduire la quantité de produit dans un emballage sans baisser le prix. Elle sera en réalité interdite. Cette annonce a été faite par la Première ministre lors d’une interview accordée au Parisien ce samedi.
Élisabeth Borne a déclaré : « Nous allons l’interdire. Dès novembre, tous les produits soumis à des modifications de quantité devront clairement le préciser sur leurs étiquettes. Elles couvrent ainsi une plus grande transparence envers les clients. » Cette décision vise à protéger les droits des clients et à mettre fin à une pratique qui peut être trompeuse. Elle promet de fournir aux acheteurs une information plus honnête et transparente sur les produits qu’ils achètent.
Une décision importante pour plus de transparence en Novembre
D’ailleurs, la « shrinkflation » est devenue une technique courante parmi les industriels. Cela en réponse à la flambée de leurs coûts au cours des deux dernières années. Cette pratique consiste à réduire discrètement la quantité de produits vendus dans un emballage. Cela tout en maintenant ou en haussant les prix.
Le terme « shrinkflation », contraction de « shrink » (rétrécir) et d’inflation, résume bien cette approche décriée par les associations de clients. La Première ministre, Élisabeth Borne, a pris la décision de mettre fin à cette pratique. À partir de novembre, la « shrinkflation » sera interdite.
Cette annonce vise à accroître la transparence envers les clients. Eux qui se sont souvent sentis trompés par cette méthode. Les produits soumis à des modifications de quantité devront désormais clairement afficher cette information sur leurs étiquettes. Ainsi, elles permettent aux acheteurs de faire des choix éclairés. Cette décision marque un pas important vers la protection des droits des consommateurs et la garantie de produits équitables sur le marché.