Aujourd’hui, plus de 30 % des citoyens méritants n’ont toujours pas accès à l’aide sociale. Ce chiffre, qui est très élevé, est en majorité dû au manque d’information. Inquiété par cette statistique, le gouvernement a donc mis en place une « réforme sociale majeure ». L’objectif de cette manœuvre, appelée « solidarité à la source » est de modifier le mode de versement des aides de la CAF.
Une réforme qui va permettre de combattre le non-recours des aides sociales françaises !
Le taux de non-recours global des aides sociales françaises vient d’atteindre les 30 %. Ce qui est effectivement asse surprenante. Après analyse, a été démontré que le manque de communication concernant ces aides reste à ce jour l’origine de ce problème. De ce fait, le président Emmanuel Macron a pris les mesures qui s’imposaient.
Pour répondre à cette difficulté, le gouvernement prévoit donc de mettre en place le plan « solidarité à la source ». Avec ce nouveau plan, le gouvernement espère donc octroyer, aux Français mis de côté, les aides qui leur est dû. En tout, cette nouvelle allocation va donc engager plus de 10 millions d’euros annuels. Le ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées de France, Jean-Christophe Combe, soutient à 100 % cette initiative lancée par le président français.
Solidarité à la source: une mesure qui arrive au bon moment !
D’après le ministre, 34 % des allocataires du RSA ne reçoivent pas leur aide trimestrielle. En réalité, ces derniers ne réclament tout simplement pas leur part. Le manque d’information étant toujours la raison principale.. Ainsi, ce nouveau dispositif « solidarité à la source » prendra en charge ces bénéficiaires du RSA. Ainsi, ils seront informés des avantages dont ils peuvent profiter. Pour Jean-Christophe Combe, le problème vient surtout du système d’aide adopté par le gouvernement.
En effet, le ministre affirme que le système est à la fois compliqué et difficile à accéder. Et bien entendu, il remet aussi en doute l’efficacité de ce système. Ainsi, le ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées de France rejette la faute. Et ce, toujours concernant ce taux de non-recours trop élevé. D’après lui, la complexité du dispositif. De ce fait, ce dernier s’était donc fixé comme objectif de créer un système qui mette les allocataires en confiance.