Brigitte Bardot s’est ouverte sur ses tentatives de suicide. Elle dévoile des révélations intenses et surprenantes qui captivent l’attention. Son témoignage incroyable invite à découvrir de plus près son histoire personnelle.
Les luttes intérieures de Brigitte Bardot
Aujourd’hui, la santé mentale des célébrités est de plus en plus discutée publiquement. Comme en témoigne Selena Gomez, qui ouvre son cœur sur son combat contre l’anxiété chronique. Cependant, à l’époque de Brigitte Bardot, les troubles mentaux n’étaient pas abordés publiquement malgré sa propre bataille intérieure.
Malgré sa renommée pour sa beauté et son talent, son mal-être demeurait largement méconnu. Bien que le monde du cinéma puisse être exigeant. Ce n’est pas la seule source de ses tourments. Car Brigitte Bardot a fait face à des luttes intérieures depuis sa jeunesse. Cette réalité demeure souvent mésestimée, alors même qu’elle était au sommet de sa gloire.
La face sombre de Brigitte Bardot : Une tentative de suicide
Contrairement à la croyance populaire, les luttes internes de Brigitte Bardot ont débuté bien avant 1960, à l’âge de 26 ans. Après avoir terminé le tournage de La Vérité, où elle interprète un personnage qui se suicide, elle a fait une tentative de suicide en ingérant des barbituriques le 28 septembre de cette année-là.
Dans une entrevue avec Mireille Dumas, Brigitte Bardot évoque son côté sombre et mélancolique. D’ailleurs, elle révèle : « Je porte en moi, au fond de mon âme, un côté très dramatique. Parfois, sans raison apparente, je me réveille le matin en larmes. »
Elle explique de même sa réflexion à l’âge de 11 ans sur le sens de la vie. Malgré les privilèges qu’elle a pu avoir, elle souligne les difficultés et les épreuves constantes de la vie, soulignant que tout a un prix.
« Je n’aime pas tellement la vie. Je déteste la mort »
Brigitte Bardot, malgré l’image de glamour et de succès, fait face à une lutte intérieure intense. Elle exprime : « Il faut avoir le courage de faire face à la vie, de se dire : soit je me bats, soit je succombe – ce qui m’est arrivé -, soit je triomphe. »
Interrogée sur son rapport à la vie, elle répond de manière directe : « Je n’aime pas tellement la vie. Je déteste la mort. Cependant, il y a eu des moments où la mort semblait être la seule solution à des problèmes que je pensais insurmontables. »
Elle explique que le suicide peut sembler être une issue face à un désespoir accumulé. Mais aussi une réaction à un sentiment d’incapacité à continuer.