Lidl dévoile sa stratégie étonnante en refusant les tickets-restaurant : Découvrez les raisons surprenantes!

Dans un contexte de débats autour des conditions d’utilisation des tickets-restaurant, le géant du hard-discount, Lidl, a décidé de ne pas les accepter. Mais qu’est-ce qui motive ce choix étonnant ? Découvrez les raisons derrière cette décision intrigante.

Lidl dévoile sa stratégie étonnante en refusant les tickets-restaurant

Explorez la décision incroyable de Lidl de refuser les tickets-restaurant. Découvrez ici les raisons inédites qui motivent ce choix. Plongez dans l’univers étonnant de cette enseigne.

Lidl : Pourquoi la géante du Hard Discount rompt avec les tickets-restaurant

L’État fait marche arrière sur les tickets-restaurant. Il irrite les hôteliers. Lidl, quant à lui, prend une voie différente en refusant très bien ces titres de paiement. Pour les clients de Lidl, les tickets-restaurant ne sont pas acceptés. Une décision efficace et pratique selon l’enseigne.

Pour cette géante du hard discount, absorber les coûts administratifs liés aux tickets-restaurant ne serait pas bon. Avec des marges bénéficiaires souvent inférieures à 3 % et des frais d’administration vont aller près de 4 % en France. Lidl préfère éviter cette charge.

Accepter ces autres choix de paiements risquent de faire grimper les prix. Ils nuisent ainsi la réputation de l’enseigne pour ses tarifs abordables pour tous. D’ailleurs, elle a choisi de ne pas accepter les tickets-restaurant. Donc, Lidl maintient sa politique de prix bas. De plus, elle refuse de même les chèques déjeuner et autres moyens de paiement alternatifs.

Thierry Marx conteste : Rencontre demandée avec la première ministre

Thierry Marx, chef étoilé et président de l’Umih, principal syndicat patronal de l’hôtellerie et restauration. Il s’élève très bien contre la décision de l’État de prolonger l’usage des titres-restaurant pour les courses alimentaires.

Marx demande expressément à être reçu par la Première ministre Élisabeth Borne dans les meilleurs délais. Selon le chef, «Dans titre restaurant, il y a « restaurant ». Ce titre doit rester une aide au déjeuner des salariés ne disposant pas de restaurant d’entreprise. Il ne doit pas devenir un titre Caddie», a dit Thierry Max dans un communiqué le 16 novembre.

Marx exprime son ignorance, son mécontentement et son souhait de revenir à la situation antérieure à la loi de 2022. Une rencontre urgente avec la Première ministre est ainsi sollicitée pour transmettre ces soucis.

Written by Abitbol

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