Drame à Dijon : Un homme meurt, touché par une balle perdue. Les tireurs se cachent toujours aux autorités. L’enquête est en cours pour élucider cette tragédie.
Traqué par la justice, le drame de Dijon révèle l’escalade de la violence liée au trafic de drogues
L’enquête rapide sur le « meurtre en bande organisée » à Dijon se poursuit, mais les suspects restent toujours à la recherche. Mais, les deux tireurs, présumés, restent impliqués dans la fusillade tragique du dimanche 26 novembre. Une fusillade sur laquelle un homme de 55 ans a perdu la vie à son domicile à Stalingrad. Ainsi, ils restent toujours recherchés.
Le préfet de la Côte-d’Or, Franck Robine, a déployé d’importants moyens pour stopper la propagation de la violence liée aux trafics dans la région. Mais, la victime, endormie dans son appartement du quartier Stalingrad. Elle semble être une victime collatérale de la fusillade liée au trafic de drogues.
Selon le procureur de la République de Dijon, Olivier Caracotch, la balle perdue aurait touché avec un coup mortel le quinquagénaire. Les enquêteurs estiment que le point de deal était la cible. Ils pensent ainsi le lien direct avec le trafic de drogue dans la région.
Une balle perdue à Dijon : Témoignages poignants après la mort d’un homme innocent, victime de la violence liée au trafic de drogues
Au moins deux personnes sont impliquées dans les tirs tragiques. Le maire de Dijon, François Rebsamen, dénonce le décès d’une personne non concernée et souligne le caractère national du problème des points de deal.
La victime vivait avec sa femme et sa fille de 23 ans. La fille témoigne : « Réveillés par des coups de feu, on a découvert mon père mort dans son lit. »
Le fils de la victime était aussi présent. L’immeuble, dans le quartier sensible de Stalingrad, déjà touché par des tirs par le passé, est reconnu comme un point de deal. Ainsi, le drame met en lumière l’urgence de mesures concrètes pour lutter contre la violence liée au trafic de drogues qui affecte le pays.