Devenir consultant, c’est gagnant sans trop de risques financiers. Réussissez simplement et en sécurité. Ne ratez pas les infos importantes dans notre article.
Devenir consultant c’est devenir son propre patron : Réussir facilement
La pandémie a fait réfléchir Angélique Ghysels sur sa carrière de comptable. Elle voulait plus de liberté dans son emploi, et son conjoint l’a encouragée à sauter le pas. En juillet 2020, elle est devenue salariée indépendante et ne regrette rien. Grâce à une plateforme, elle a triplé ses revenus. Angélique n’est pas seule, car fin 2022, 4,3 millions de salariés indépendants ont été recensés, en hausse de 5,9%.
Ils cherchent plus de liberté et veulent être leur propre patron. Cependant, réussir en tant qu’indépendant demande plus qu’une expertise technique. Il faut aussi structurer son offre, s’adapter et cultiver des relations. Heureusement, il existe des aides pour faciliter ce changement et simplifier la vie des indépendants.
Travailler en intérim : Plus de choix, plus d’expérience
L’intérim, c’est des occasions. Beaucoup de cadres en trouvent dans les grandes agences. En France, 40 000 cadres font de l’intérim selon Prism’emploi. Amel Soussi-Zenati, après son alternance, a choisi l’intérim. Chaque mission de six mois lui donne de l’expérience et des compétences. Chez Klépierre, elle fait du contrôle de gestion. Elle préfère ça à un CDI. Malgré la précarité, elle ne craint rien, car le cabinet trouve toujours une nouvelle mission. Pour elle, l’intérim offre une indépendance maîtrisée.
Cependant, réussir en intérim demande souplesse, réactivité et tolérance à l’incertitude. Sabine Basse-Mendy, assistante de direction intérimaire, souligne l’importance des lettres de recommandation pour sécuriser ses missions renouvelables tous les deux mois.
Devenir consultant : Manager de transition
Travailler en tant que manager de transition est une option pour ceux qui veulent être indépendants. Ces managers aident les entreprises pendant des missions de sept à neuf mois. Ce marché est en croissance avec 30 000 managers et 750 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2023. Passer par un cabinet de management de transition facilite la recherche de missions, mais cela a un coût. Le manager touche les deux tiers du tarif quotidien moyen, le reste va au cabinet. Pour la rémunération, deux options existent : facturer les honoraires en tant qu’entrepreneur individuel ou utiliser une société de portage.
Ensemble pour réussir : Les groupes de freelances
Travailler seul peut être difficile, c’est là que les groupes de freelances interviennent. Ils rassemblent des personnes qui travaillent de manière indépendante. D’ailleurs, ils offrent entraide et solidarité. Par exemple, Away We Go a trente membres dans le tourisme, et Digital Village en a deux cents dans le digital. Ces groupes aident à centraliser les demandes de travail et à partager les opportunités.
Chez Away We Go, l’adhésion coûte 50 euros par an, sans frais en plus. Les entreprises contactent le groupe, et les membres décident ensemble qui est le mieux adapté pour chaque mission. Chez Digital Village, les freelances partagent des bureaux pour 250 euros par mois. Il renforce ainsi leur collaboration. Unir leurs forces, c’est le secret de leur réussite !