Les agriculteurs veulent changer la loi Egalim et ils demandent aux consommateurs de les aider. Ils veulent que les gens donnent leur avis sur cette nouvelle version de la loi. Si les agriculteurs et les consommateurs travaillent ensemble, cela pourrait aider à trouver de meilleures solutions pour tout le monde.
Aider les agriculteurs : Réviser la Loi Egalim
Le Premier ministre a demandé à deux députés, Anne-Laure Babault et Alexis Izard, de revoir la loi Egalim. Cette loi protège les agriculteurs des grandes entreprises alimentaires. La mission a commencé le 9 mars pour évaluer la loi et trouver des solutions aux problèmes.
Les événements récents, comme la pandémie, montrent qu’il faut changer la loi. On cherche des solutions pour lutter contre les pratiques qui contournent la loi et pour partager la valeur équitablement dans la chaîne alimentaire.
Écouter le public : Les députés au travail
Les deux députés, Anne-Laure Babault et Alexis Izard, ont beaucoup de travail. Ils vont écouter beaucoup de gens comme d’anciens ministres, des syndicats agricoles et même des consommateurs. Ils veulent que tout le monde comprenne l’importance de la loi Egalim et du prix juste des aliments.
En plus des auditions, ils vont faire un sondage en ligne pour que tout le monde puisse donner son avis. Ils veulent avoir le plus de réponses possible pour faire un rapport qui représente tout le monde.
D’ailleurs, ils vont aussi regarder ce qui se fait dans d’autres pays européens pour s’en inspirer et améliorer la loi française. Donc, ils vont même parler avec des députés européens pour essayer de faire une loi Egalim pour toute l’Europe.
Rapport avant les élections : Les députés pressés
Les deux députés, Anne-Laure Babault et Alexis Izard, ont une date limite. Ils doivent finir leur rapport avant l’été pour que leurs idées soient appliquées très vite. D’ailleurs, ils espèrent que leurs propositions seront acceptées tout de suite, mais s’ils ont besoin, ils feront un nouveau texte de loi pour une nouvelle version de la loi Egalim. Donc, ils veulent vraiment finir avant les élections européennes en juin, car l’une des questions importantes est la crise agricole.