Certains endroits coûtent beaucoup à la Sécurité sociale à cause des arrêts maladie. Ces arrêts font dépenser beaucoup d’argent dans ces lieux. La Sécurité sociale doit bien gérer ces dépenses dans ces endroits.
Réduire les arrêts maladie pour économiser les dépenses de la Sécurité sociale
Dans une récente réunion, Thomas Fatôme et Marguerite Cazeneuve de l’Assurance maladie ont insisté sur la nécessité de limiter les arrêts de travail. L’Etat les soutient dans cette démarche pour économiser de l’argent.
L’été dernier, Bruno Le Maire a pointé du doigt les nombreux arrêts maladie, qui ont coûté cher à la Sécurité sociale. Les médecins sont les principaux prescripteurs d’arrêts de travail, avec des différences notables entre les départements. Il est crucial de mieux gérer ces arrêts pour réduire les dépenses de la Sécurité sociale.
Les dépenses par Région
En Corse-du-Sud, chaque personne a coûté 25,7 millions d’euros d’indemnités journalières à la Sécurité sociale pour les arrêts maladie. Pour toute la région, c’est 42,1 millions d’euros dépensés pour 163 955 personnes.
Dans le Pas-de-Calais, les médecins ont prescrit pour 362 millions d’euros d’arrêts maladie pour plus d’1,4 million d’habitants, soit 24,9 millions d’euros par 100 000 habitants.
En Gironde, l’Assurance maladie a dépensé plus de 412 millions d’euros pour les arrêts de travail, avec un peu plus d’1,6 million d’habitants.
Le télétravail pour réduire les arrêts maladie
L’Assurance maladie encourage le télétravail pour baisser les arrêts maladie. À Paris, la Sécurité sociale a versé moins de 15 millions d’euros d’indemnités journalières pour 100 000 habitants. Pour la ville de Paris, c’est « seulement » 397 millions d’euros d’indemnités pour plus de 2,1 millions d’habitants.
Ce choix pourrait être dû à une hausse du télétravail pour les emplois qui le permettent. L’Assurance maladie voit le télétravail comme une solution pour réduire les dépenses d’indemnités journalières pour les arrêts maladie. Il est important de noter que seuls les médecins du travail peuvent recommander le télétravail, pas les médecins généralistes ou spécialistes.