Dans le cadre des NAO 2024, les entreprises envisagent d’offrir bien plus que des salaires. Des avantages inédits se profilent. Elles ajoutent des atouts attractifs pour les employés. Découvrez ces surprises qui vont au-delà du salaire traditionnel.
Les entreprises et leurs salaires 2024: Qui gagne et qui perd?
Certains employeurs envisagent d’offrir des hausses salariales en dessous de la moyenne nationale de 3,6%. D’autres entreprises, en revanche, prévoient des hausses plus bonnes. Cependant, ces hausses varient selon les secteurs d’activité et les postes occupés par les salariés.
Seuls 40% des employeurs voient d’octroyer des hausses générales. Tandis qu’environ 20% prévoient de verser une prime de partage de la valeur, également connue sous le nom de « prime Macron« . Les ouvriers devraient profiter d’une hausse moyenne de 3%. Tandis que les cadres pourraient voir une hausse de salaire d’environ 2,5%.
Les disparités salariales peuvent de même varier d’un secteur à l’autre. Alors que certains secteurs, tels que l’industrie et le secteur financier, pourraient garder des hausses proches de la moyenne nationale. D’autres secteurs, comme l’information et la communication, pourraient connaître des baisses.
Cependant, des entreprises telles que TotalEnergies et Michelin offrent des hausses allant jusqu’à 5%. Ces variations dans les hausses salariales reflètent les défis et les occasions spéciales à chaque secteur. De plus, elles démontrent la diversité des politiques de rémunération des entreprises.
Avantages compensatoires 2024 : Plus que des paies, quelles offres vous attendent?
En 2024, la hausse des salaires ne réserve pas de surprises. Un retour aux niveaux pré-crise était attendu. Des mesures ciblées sur les bas salaires et des hausses au mérite sont prévues, surtout pour les cadres. Pour se démarquer, de nombreuses entreprises misent sur des packages incluant divers avantages.
Dans un contexte d’inflation maîtrisée et de croissance en attente, ces entreprises prouvent cette approche par un meilleur contrôle de leur masse salariale. Ces packages peuvent contenir une prime de partage de la valeur, un progrès des prestations de mutuelle, des frais de transport, ou des repas avec des tickets restaurant. La moitié des affaires alloue un budget pour les mobilités douces.
Certaines développent de même des mesures d’épargne salariale, des « leviers » que les salariés peuvent évoquer lors de leurs entretiens. C’est aussi une façon de compenser la fin progressive des primes défiscalisées. Comme la prime « Macron », qui n’est plus exonérée d’impôt depuis janvier. Les entreprises cherchent ainsi à éviter une baisse du pouvoir d’achat des salariés. Puis, à garder la satisfaction lors des négociations salariales.