France Travail : une nouvelle obligation attend les demandeurs d’emploi en France. Beaucoup pourraient agacer par ce changement. Cela va affecter leur recherche de travail.
Tout sur France Travail
Depuis le 1er janvier 2024, Pôle Emploi est devenu France Travail. Il marque un changement important dans la politique de l’emploi.
L’État assure que certaines procédures restent inchangées. Comme le numéro de téléphone (3949) et d’autres aspects tels que le référent unique et les conditions de paiement des allocations chômage.
Cependant, une réorganisation totale des services publics est en cours. Cela avec de nombreuses mesures entrant petit à petit en vigueur d’ici le 1er janvier 2025. Elles créent des débats intenses. D’abord, sur l’inscription automatique à France Travail pour tous les demandeurs d’emploi. Puis, sur l’exigence de travailler 15 heures par semaine pour les bénéficiaires du RSA.
De plus, la possibilité de radiation en cas de refus d’une offre d’emploi en CDI et la mise en place de dispositifs spécifiques pour les personnes en situation de handicap ont également été discutées.
Une nouvelle obligation pour les chercheurs d’emploi avec France Travail
Avec France Travail, ne vous inquiétez pas ! Votre conseiller personnel restera là pour vous aider dans votre recherche d’emploi ou de formation. De plus, il va vous guider si nécessaire.
Vous pourrez toujours contacter France Travail ou Pôle Emploi par téléphone. De plus, vos allocations chômage seront versées par France Travail selon les mêmes règles qu’avant.
Vous devrez toujours mettre à jour votre situation chaque mois sur votre espace personnel. Il est accessible sur le site www.francetravail.fr. Même si vous tapez pole-emploi.fr, vous serez automatiquement redirigé vers le site de France Travail.
D’autres changements importants à connaître !
France Travail a introduit de nouvelles règles pour limiter l’accès. Il provoque des réactions mitigées parmi les demandeurs d’emploi.
Les critères pour profiter des aides chômage ont été ajustés. Ils ont besoin désormais 6 mois de travail sur les 36 derniers mois, avec des soucis exprimés quant à l’impact sur la stabilité de l’emploi.
Certains jugent ces changements discriminatoires, craignant qu’ils ne troublent davantage la recherche d’un emploi stable et n’aggravent la précarité financière des personnes les plus faibles.
