Chute vertigineuse des prix immobiliers : Découvrez le top des grandes villes les plus attractives pour les acheteurs ! Paris, Marseille, Rennes, Lyon, Toulouse, Nantes et Nice en tête du palmarès.
Prix immobiliers en France : Lyon, Bordeaux et Paris en baisse jusqu’à -8% !
Lyon enregistre la plus forte baisse avec -8,4% en un an. Suivi de près par Bordeaux avec -7,3%. Cependant, ces chiffres doivent être analysés avec prudence. Car sur les 10 dernières années, les prix ont augmenté respectivement de 40% et 49% dans ces deux villes.
À Paris, le prix moyen au mètre carré a chuté de -4,5% sur l’année passée. En revanche, Nice, Marseille et Toulouse continuent leur ascension avec des hausses respectives de +6,2%, +2,5% et +2% par rapport à 2022.
Voici les prix au mètre carré dans les grandes villes en date du 1er août 2023
Paris : 10 078 euros, baisse de 0% en un mois et de -4,5% sur un an. Nice : 5 237 euros, hausse de 0,6% en un mois et de 6,2% sur un an. Lyon : 5 036 euros, baisse de 1% en un mois et de -8,4% sur un an. Bordeaux : 4 830 euros, baisse de 0,7% en un mois et de -7,3% sur un an. Rennes : 4 214 euros, baisse de 0,1% en un mois et de -2,4% sur un an.
Nantes : 4 029 euros, baisse de 0,8% en un mois et de -3,3% sur un an. Strasbourg : 3 978 euros, hausse de 0,4% en un mois et baisse de -0,5% sur un an. Marseille : 3 858 euros, hausse de 0,7% en un mois et de 2,5% sur un an. Toulouse : 3 768 euros, hausse de 0,8% en un mois et de 2% sur un an. Montpellier : 3 675 euros, baisse de 0,4% en un mois et de -1,3% sur un an.
Vendeurs sous pression dans les villes à prix élevés : Adaptation à la baisse du pouvoir d’achat !
Le président du réseau l’Adresse, Brice Cardi, souligne que les vendeurs dans les villes avec lesquelles les prix ont le plus augmenté doivent faire des efforts considérables. Elles doivent s’adapter à la baisse du pouvoir d’achat des ménages due à la hausse des taux.
Selon l’indice Notaires-Insee, les prix de l’immobilier ancien ont baissé de 0,2% au premier trimestre. Ils marquent la première baisse enregistrée d’un trimestre à l’autre depuis juin 2015. Le marché immobilier fait face à une hausse rapide des taux d’intérêt dans un contexte d’inflation. Cette tendance à la hausse met à mal les ménages souhaitant acheter un bien et entraîne une forte baisse du nombre de transactions. »