Depuis quelque temps, une controverse sociopolitique majeure envahit l’actualité du pays. Après la disparition du jeune Nahel, le pays est alors plongé dans une ambiance très tendue. Et ce, en raison des multiples émeutes. Prenant les choses en main, le président français est ferme. Ainsi, il a décidé de mettre en place des sanctions qui vont surprendre plus d’un. Apparemment, les conséquences et les sanctions retomberont sur les parents des émeutiers, qui sont en majorités des mineurs.
La France en pleine ébullition : la loi pénale pourrait se durcir !
Il est évident que la violence prend de plus en plus de place dans le pays. Le 27 juin dernier, à Nanterre, une nouvelle émeute a éclaté. Causant ainsi la panique sur les lieux. Suite à cette nouvelle crise, le gouvernement se devait donc de riposter. Pour cela, certains dirigeants haut placés ont demandé à ce que la loi soit renforcée. De sorte à dissuader les émeutiers à continuer leur manifestation.
Pour ces personnalités politiques, les sanctions actuellement mises en place ne suffisent plus. Et ce, pour mettre en garde les « délinquants et les criminels ». Toutefois, des propositions plus subtiles ont alors été faites. En tout cas, les émeutiers sont en majorité des mineurs et des adolescents. Ainsi, le gouvernement prévoit de mettre en place des mesures punitives agissant en profondeur. Ce qui est normal au fond.
Les parents d’émeutiers risquent des sanctions : des allocations pourraient être retirées
Emmanuel Macron, le président de la République, s’était effectivement réceptif aux propositions de ses ministres. En effet, le président français n’a pas écarté l’idée de mettre en place des sanctions financières contre les parents de mineurs délinquants. Tout au contraire, l’homme d’état français a même pris l’idée avec sérieux et enthousiasme. « Il faudrait qu’à la première infraction, on arrive à sanctionner financièrement et facilement les familles », explique-t-il.
Par cela, Emmanuel Macron pense alors aux allocations sociales. Mais l’opposition, bien qu’elle partage la même idée que le président, fait part d’un détail qui les oppose. À l’exemple de Bardella, le retrait immédiat et définitif de ces droits est proscrit. Par contre, Emmanuel Macron prévoit tout simplement un refus d’accès à ces allocations de manière temporaire. Mais ce qui est certain, c’est que les parents des émeutiers ont à craindre pour leurs aides sociales.