Dans un futur proche, le gouvernement français va remplacer Pôle Emploi par France Travail. L’objectif de ce nouvel organisme est d’assurer une meilleure coordination de toutes les actions en faveur de l’emploi. Malgré un plan bien précis et persuasif, France Travail éveille toujours la vigilance de certains. En effet, beaucoup remettent en question l’utilité et les fonctions de cet organisme.
Réforme percutante sur la gestion du travail et du chômage en France !
Le remplacement de Pôle Emploi par France Travail est en cours d’élaboration. Prévu pour un avenir proche, ce changement notable a déjà suscité le mécontentement de certains. Ce qui a donné lieu à des manifestations assez virulentes. Le 27 juin dernier, une manifestation contre l’adoption d’un tel changement a été organisée. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les Français ne sont pas contents. Pourtant, France Travail n’entrera pas en action avant le 1er janvier 2024.
C’est à la suite de l’adoption du projet de loi qui a été présenté en Conseil des ministres le 7 juin dernier que l’idée de ce changement a jailli. Par la suite, la structure de cet organisme qui se veut être révolutionnaire sera donc examiné au Sénat en juillet 2023. Ayant pour objectif principal de suivre, d’aider et de performer les demandeurs d’emploi, le projet de « France Travail » devraient être convaincants. Mais ,il faut dire que les Français ont toujours mal accueilli les changements. Il en est de même pour les réformes.
France Travail : une première expérimentation déjà élaborée !
En attendant que « France Travail » soit mise sur pied, de nouveaux dispositifs expérimentaux sont déjà lancés. C’est en tout cas ce que confirment les responsables de l’organisme. Ainsi, le gouvernement a lancé une série expérimentations. Pour information, cette vaste campagne est établie sur un total de 18 départements. Par ailleurs, plus de 40 000 bénéficiaires du RSA seront donc inclus dans cette expérimentation. Ces derniers seront donc inscrits de manière automatique dans le dispositif.
De ce fait, ils pourront donc bénéficier d’une meilleure gestion de leur cas. Puis, ce dispositif permettra aussi de diagnostiquer les besoins et attentes des bénéficiaires avant de les orienter. De ce fait, il sera donc plus facile de les aider pour leur réinsertion dans le milieu du travail. Quelques changements, à l’exemple des 15 à 20 heures d’activité par semaine, risquent toutefois de déplaire aux allocataires.