Une nouvelle usine de billets approuvée à Vic-le-Comte (Puy-de-Dôme). Le projet de fabrication au meilleur coût en marche. Après un conflit de longue date, la Banque de France donne son feu vert. Le projet promet une fabrication de billets plus efficiente et économique. Découvrez les détails de cette avancée majeure dans la production monétaire !
Feu vert pour la nouvelle usine de billets en Auvergne !
Après des mois de conflit social, la banque de France a validé le projet de construction. Un projet fait pour une nouvelle usine de billets à Vic-le-Comte. Elle se trouve au sud de Clermont-Ferrand, dans le Puy-de-Dôme. Le Conseil général de la Banque de France a finalement donné son approbation. Il ouvre ainsi la voie à la réalisation du projet nommé « Refondation ».
Cette nouvelle imprimerie voie le jour. Il était nécessaire que les syndicats acceptent un « plan de compétitivité ». Ils réduisent le nombre d’agents autour de certaines machines. La signature d’un accord cette semaine par la CGT Banque de France a été décisive. Il permet l’avancement du projet. Une victoire historique pour la production monétaire en Auvergne !
Un accord crucial : La nouvelle imprimerie de billets en voie de réalisation !
Après de longues négociations, une issue favorable a été trouvée. Elle concerne la construction de la nouvelle imprimerie de billets. L’institution avait menacé d’abandonner le projet en juin. Mais un accord clair a été conclu suite à une ultime négociation. Elle a été proposée par la Banque de France avec les partenaires sociaux.
La réduction d’effectif prévue dans la prochaine imprimerie sera réalisée tout en garantissant des conditions de travail et la santé des imprimeurs. En signe de reconnaissance, une prime exceptionnelle de 500 euros sera également versée aux imprimeurs. Mais s’ils aient participé à la grève ou non. Le Conseil général de la banque se réjouit de ce résultat porteur d’avenir.
Projet d’imprimerie de billets : Un investissement massif, mais des retards coûteux
Un autre sujet d’inquiétude. Les multiples retards du projet ont fait grimper la facture à plus de 250 millions d’euros. C’est bien au-delà de l’estimation initiale de 200 millions d’euros en 2016. La faute à l’inflation des matières premières et du bâtiment selon la direction. Ou aux atermoiements du Conseil général de la Banque de France selon la CGT Banque de France.
La CGT alertait sur le risque de souveraineté pour la France et l’Union européenne. Malgré tout, la Banque de France qualifie cet investissement de « massif ». Elle vise à optimiser la fabrication des billets. Le projet, qui devrait être le pôle de production publique de billets le plus moderne. Il est très efficace et écologique d’Europe. Il commencera bientôt sa phase de réalisation après des années d’attente.