Un jour, cet homme se rend sur son terrain et trouve des gens du voyage qui s’y sont installés sans son autorisation. Après plusieurs avertissements, il décide de passer à l’action afin de chasser les squatteurs de sa propriété. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’y est pas allé de main morte. Suivez cette histoire surprenante jusqu’à la fin.
Plus d’issue pour les gens du voyage qui se sont pris au piège
Qu’importe le nom qu’on leur donne, le mode de vie de cette catégorie de personnes est très différent de la nôtre. Malheureusement, les gens du voyage ne sont pas toujours vus d’un bon œil. En même temps, certains de leur acte provoque tantôt l’indignation, tantôt la colère pour les autres. C’est notamment, ce qui s’est passé en Haute-Garonne il y a quelques temps. Un groupe de personnes a décidé de squatter un terrain vague et de s’y installer pour une durée indéterminée. Seulement, le terrain en question avait un propriétaire. Qui plus est, la loi ne les autorise en aucun cas à briguer le terrain d’autrui de la sorte. Au final, cette histoire s’est très mal finie.
Le propriétaire a décidé de passer à l’action pour montrer sa colère
Au début, il n’y a pas eu de violence. Bien au contraire, le propriétaire avait demandé très poliment aux gens du voyage de partir de son terrain. Une requête que ces derniers ont ignorée. Après maintes et maintes récidives, les nomades ont réussi à provoquer la colère de l’homme. Il faut dire que la situation durait depuis des mois. Ne tenant plus, le propriétaire du terrain n’a plus hésité a employer la manière forte à l’encontre des squatteurs. Dans son témoignage, celui-ci affirme qu’il a tout essayé pour les faire partir. Seulement, ces derniers n’ont jamais voulu l’écouter. Ainsi, il a donc mis en place un plan hors du commun. Il a loué une grue et y a déposé un énorme bloc de béton de plus de trois tonnes. Ensuite, il est allé poser cette pierre à l’entrée de son terrain. De sorte que les caravanes ne pouvaient ni entrer ni sortir du terrain.
Les gens du voyage auraient dû l’écouter selon lui
On le dit assez souvent, ne provoquez pas la colère d’un homme qui est dans son droit. La décision de cet homme en est la preuve flagrante. Pour le coup, il a décidé de se rendre justice lui-même. En effet, il estimait que s’il avait attendu les autorités, cette histoire aurait encore plus trainé. En tout cas, il a agi en pleine conscience. Voici ce qu’il déclare pour se justifier : « Tant pis pour eux. Ils auraient dû m’écouter depuis le début. Maintenant, ce sont les gens du voyage qui devront saisir la justice s’ils veulent que j’enlève ce bloc de béton ». De leur côté, les nomades affirment ne pas comprendre une réaction aussi excessive. Ainsi, l’adage disait vrai : ‘’Rira bien qui rira le dernier’’.