Prévisions budgétaires 2024 : Envisage-t-on de nouvelles taxes sur autoroutes et billets d’avions ? On fait le point dans notre article !
Taxes autoroutières pour l’écologie en 2024 : Impact limité sur les péages
Le ministre des Transports, Clément Beaune, a évoqué une nouvelle taxe possible sur les sociétés d’autoroutes. Cela pour financer la transition écologique. Cette mesure pourrait figurer dans le budget 2024. Mais elle n’aura pas d’effet négatif sur les frais de péage, a-t-il affirmé.
L’objectif de cette taxe est de soutenir les efforts en faveur de l’environnement. Ainsi que l’infrastructure ferroviaire. Le ministre a souligné que malgré cette taxe, les contrats en place entre les sociétés autoroutières et l’État pour les péages resteront inchangés. Il a insisté sur le fait que cela préservera le budget des conducteurs. De ce fait, tout en contribuant aux initiatives écologiques.
Taxes possibles sur les billets d’avion : Nouvelle mesure en vue
Clément Beaune, ministre des Transports, souligne la dimension juridique de la taxation des billets d’avion. Il rejette l’idée d’une simple intention. Il confirme de même les discussions actives au sujet d’une possible taxe en plus sur ces billets.
L’inclusion de cette mesure dans le budget 2024, prévu pour être dévoilé fin septembre, est envisagée. Le ministre précise que ce budget sera axé sur la réduction de la dette et du déficit. La stimulation de l’emploi et de la croissance, ainsi que la promotion de la transition écologique.
Vers une éco contribution renforcée sur les vols : Objectif écologique
Clément Beaune exprime son soutien pour le renforcement de l’actuelle « éco contribution » sur les vols. Ce n’est pas tant pour augmenter les coûts. Mais pour investir dans la transition écologique, selon ses propos.
L’idée est d’adapter ces taxes en fonction du revenu des passagers et de la distance parcourue. Ainsi que de l’impact environnemental, d’après le ministre.
M. Beaune précise que l’objectif est d’ajuster le coût environnemental. D’ailleurs, sans dégrader le pouvoir d’achat, afin de financer notamment le développement ferroviaire et des billets de train plus abordables.