Le roi Charles III va bientôt célébrer sa première année de règne. Il prévoit de le faire en famille, pas avec le public, malgré sa popularité.
Charles III : Une première année de règne couronnée de succès
Charles III célèbre sa première année de règne, coïncidant avec le premier anniversaire du décès de sa mère, la reine Elizabeth II, en septembre 2022. Lorsqu’il est devenu roi à l’âge de 73 ans, de nombreux doutes entouraient sa capacité à assumer cette responsabilité.
Cependant, malgré un départ difficile, le roi Charles III a rapidement gagné en popularité. Des sondages révèlent que les deux tiers des Britanniques sont convaincus. Par la manière dont Charles III et Camilla exercent leur rôle royal. Leur succès s’explique en grande partie par leur discrétion, leur modestie et leur dévouement.
Le roi Charles III a également fait face aux critiques du prince Harry et de Meghan Markle avec calme et sang-froid. Il évite de prendre parti pour des causes qui lui tiennent à cœur, telles que l’environnement. Ainsi, cette première année de règne a donc été couronnée de succès pour Charles III. Car, il a su maintenir la confiance du peuple britannique tout en restant fidèle à ses principes et à son rôle royal.
Une première année réussie, malgré des défis persistants
Le roi Charles III a connu une première année de règne réussie. Ainsi, il se maintient comme un pilier de stabilité au milieu des crises au Royaume-Uni. Surtout le coût de la vie élevé, les grèves, les scandales et le déclin des services publics. Malgré des sondages montrant son fils, sa sœur et sa belle-fille en tête. Mais, 59 % des Britanniques estiment qu’il fait du bon travail en tant que roi.
Cependant, cette année triomphante n’est pas exempte de problèmes pour le roi Charles III. Les comptes annuels de la Cour royale ont révélé des inégalités salariales. Avec le secrétaire privé du roi gagnant le double de la principale conseillère de la reine. Bien que le palais de Buckingham ait tenté d’apaiser les critiques. Ce qui affirme que Sophie Densham gagnait autant que la secrétaire particulière du défunt prince Philip. Ainsi, que la maison royale comptait un tiers de cadres féminins. Donc, des défis subsistent pour le successeur d’Elizabeth II.